Test Greenpeace: Quel poisson pouvons-nous manger sans hésitation?

Les poissons d'élevage d'aquacultures, comme le saumon, la dorade, la truite ou le bar, aiment se poser sur les assiettes ici en Allemagne? Après tout, ils sont en bonne santé et ont bon goût. Cependant, comme Greenpeace l’a découvert, ces herbicides sont fortement contaminés par l’herbicide éthoxyquine. La Commission de l'UE n'avait pas approuvé ce recours en 2011 en raison de "nombreuses préoccupations".

Les deux tiers des échantillons sont chargés

Au total, 54 produits du poisson ont atterri dans le laboratoire de Greenpeace en décembre, où ils ont été explicitement testés pour détecter l'agent de protection des plantes éthoxyquine. Selon les informations de l'organisation environnementale, les échantillons provenaient des supermarchés allemands et des marchés bio. Les poissons congelés et les poissons fumés et frais de l'aquaculture, de l'aquaculture biologique et de la pêche sauvage ont été examinés. Le résultat: Les 38 échantillons de l'aquaculture conventionnelle étaient contaminés32 échantillons dépassent largement la limite de 50 microgrammes par kilogramme de pesticide transformé en farine de poisson.



Dans un produit, cette limite a été dépassée plus de 17 fois. Il s'agit du saumon Stremel de Real, issu d'une aquaculture norvégienne. Bien que l'éthoxyquine ne soit pas extrêmement dangereuse pour la santé, il n'y a pas encore d'études à long terme. Dans son rapport, Greenpeace a cité des études individuelles suspectées d’avoir endommagé le matériel génétique, altéré le métabolisme du foie et provoquant le cancer. Pour cette raison, la société appelle maintenant à une interdiction européenne des additifs pour l'alimentation animale.

Quel poisson pouvons-nous manger sans hésitation?

Le problème avec tout cela: puisque l’éthoxyquine est un additif pour l’alimentation animale, il n’a pas à apparaître sur l’emballage du poisson. Pour cette raison, les clients devraient mieux éviter tous les produits de l'aquaculture conventionnelle, selon Greenpeace. Il vaut mieux acheter du poisson sauvage. Mais méfiez-vous: assurez-vous lors des élections que les stocks mondiaux de poisson ne sont pas déjà surexploités!



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