Vacances au village
Vejer de la Frontera - village blanc avec une vue large
"Détendez-vous. Vous nous avez trouvés", se tient devant la simple porte d'entrée de "l'Hôtel Escondrijo". Cela a du sens car la maison se traduit par "cachette", située dans Callejón Obscuro ("ruelle sombre") et un plan de la ville au cœur des ruelles de Vejer ne fournit que des indications approximatives. L'ancien palais de la ville impressionne par son patio et ses grandes terrasses donnant sur une mer blanche de maisons. Vejer est déjà une promenade le long des murs de la ville et dans les rues incroyablement sinueuses, une beauté andalouse au livre d'images. Les bougainvilliers roses couvrent les toits de tuiles, les palmiers ont des ombres vives et, sans les clochers distinctifs de l'ancienne église paroissiale de Divino Salvador, on s'est senti transporté dans une médina orientale. En fait, les Maures de cette partie de l'Andalousie ont gardé très longtemps, comme l'indique l'addition "de la Frontera" dans de nombreux noms de lieux: ils se trouvaient tous à la frontière des territoires reconquis des rois catholiques. Le fait que Vejer, malgré ses 13 000 habitants, ait toujours l’air très villageois, tient au fait que la vie de tous les jours dans le nouveau quartier continue de jouer: dans les rues étroites du vieux centre-ville, un chauffeur de cyclomoteur méchant fait rage. À quelques kilomètres de Vejer, le parc de sculptures Fundación NMAC mérite une visite: une vingtaine d'œuvres d'artistes internationaux (dont Marina Abramovic et Sol LeWitt) dans une pinède.
hébergement: Hôtel Escondrijo. DZ / F à partir de 85 euros (Callejón Obscuro 3, tél. 956/44 74 38, www.escondrijo.com).
Casa Rural Leonor. Avec fantastique toit-terrasse au milieu de la partie ancienne. Chambre double à partir de 45 euros (Calle Rosario 25, tél. 956/45 10 85, www.casaleonor.com).
Hôtel La Casa del Califa. Maison de ville à la décoration mauresque, magnifique terrasse. DZ / F à partir de 70 euros (Plaza de España 16, tél. 956/44 77 30, télécopie 45 16 25, www.lacasadelcalifa.com).
Calella de Palafrugell - Côte sauvage, couleurs douces
Le cottage rose perché sur un rocher? Ou plutôt la serviette mince en jaune vif avec un balcon directement sur la plage? À Calella, il est difficile de ne pas rêver d'une résidence secondaire sur la Costa Brava. Couleurs comme la crème glacée molle, blanc brillant entre les deux Les baies de sable fin, plutôt profondes que larges, se nichent contre le rocher vif et offrent aux baigneurs un accès facile. Calella fait face à la mer, que l’on voit le mieux depuis l’un des cafés de la promenade. On y sert le cocktail flambé Cremat (rhum et café). Avec environ 500 habitants, le village se compose de peu plus que la longue promenade de la plage, qui est interrompue par un lieu isolé, quelques immeubles de logements et la route de liaison qui mène à Palafrugell. Une promenade merveilleuse: le sentier côtier jusqu'aux villages voisins, Llafranc et Tamaríu.
hébergement: Hôtel La Torre. De vastes terrasses et des chambres rustiques de couleur bleue, situées de manière charmante sur le sentier du littoral. DZ / F à partir de 87 euros (Passeig de la Torre 26-28, tél. 972/61 46 03, fax 61 51 71, www.hotel-latorre.com).
Hôtel Sant Roc. Grande terrasse surplombant la mer, chambres lumineuses avec z.T. lits en bois sculpté. Chambre double à partir de 95 euros, chambre vue mer uniquement avec demi-pension, à partir de 160 euros (Plaça Atlàntic 2, tél. 972/61 42 50, fax 61 40 68, www.santroc.com).
Pour les campeurs: la place familiale "Moby Dick" située sur plusieurs terrasses au-dessus du centre du village et des plages est accessible en dix minutes à pied, par personne / voiture / petite tente 3,80 € (www.campingmobydick.com).
Santillana del Mar - La place des trois mensonges
Six syllabes en elles-mêmes: Santillana del Mar n’est ni sainte ("santa"), ni du tout ("llana") et ne se trouve pas directement sur la mer ("del mar"), mais à quelques kilomètres à l’intérieur des terres , Néanmoins, on peut en croire les habitants, s’ils considèrent Santillana comme l’une des plus belles villes (ce statut a la place des 1000 âmes depuis le Moyen-Âge) en République Cantabrique sur la côte nord de l’Espagne. Fondée au 9ème siècle, complètement répertoriée depuis 1943. Le soir, les façades des maisons nobles brillent sous la chaleur du soleil, découvrant les détails médiévaux des façades et les balcons en bois richement décorés. Calme, car le centre est une zone piétonne. Santillana est également un lieu de séjour idéal pour visiter la station balnéaire de Santander, située à seulement 30 minutes en voiture. Il s'agit bien sûr de la copie parfaite de la célèbre grotte d'Altamira, ouverte en 2001, accessible depuis de nombreuses années aux spécialistes. Les professeurs d'art qui ont créé le "Neocueva" ont aussi bien travaillé avec les mêmes matériaux et outils que ceux utilisés par les créateurs des peintures il y a 14 000 ans, et ont même imité les reliefs rocheux, expressions vivantes du bison, des chevaux, des sangliers et renforcer le cerf.
hébergement: Hôtel La Casa del Marqués.Palais du premier marquis de Santillana, chambres spacieuses avec moquette violette et lit à baldaquin, vieilles poutres en bois au plafond. Chambre double à partir de 120 euros (Calle Cantón 26, tél. / Fax 942/81 88 88, www.hotelcasadelmarques.com).
Casa del Organista. Très proche de la Plaza Mayor, vues magnifiques, chambres décorées individuellement avec des couleurs vives et en partie de petits balcons en bois. DZ / F à partir de 77 euros (Calle Los Hornos 4, tél. 942/84 03 52, fax 84 01 91, www.casadelorganista.com).
Cudillero - Charme brutal sur l'Atlantique
Sur le comptoir en bois se trouve le verre, un bon mètre au-dessus, la bouteille flotte, du barman dans un mélange d’arrogance et de confiance en soi, le cidre asturien Sidra pénètre dans le récipient. Bouteilles remplies Après quelques verres de Sidra, le nom de la ville de 2000 habitants de la Costa Verde, en dialecte local, apparaît assez facilement dans la langue: "Cuideiru", chanson chantante à nombreuses voyelles. À l'instar de la langue, l'ambiance sur la "côte verte" des Asturies diffère considérablement des clichés espagnols des étendues ensoleillées et des villages blanchis à la chaux. Rapprochées les étroites maisons situées derrière le petit port, comme si l’une se dressait sur les épaules de l’autre, entre leurs façades jaune vif, bleu, rose ou lavées de vert éclatent le rocher gris. Et quand il fait noir, les lumières des maisons brillent comme un amphithéâtre au-dessus de l'Atlantique noir qui se déverse dans le bassin du port. Cudillero dégage un charme brut qui rappelle les nids côtiers écossais - et constitue un décor enchanteur pour les restaurants de poissons du port le soir. Les plages sont toutes un peu à l'écart, particulièrement belles sont les hautes falaises de quartz entourées de Playa Gueirúa.
hébergement: Hôtel La Casona del Pío. À quelques pas du port, les chambres présentent des murs en pierre naturelle et une touche rustique. Chambre double à partir de 55 euros (tél. 985/59 15 12, fax 591519, www.arrakis.es.
Hôtel Casona de la Paca. Villa de 1877, chambres élégantes avec mobilier d’époque et beaux sols en carrelage, grand jardin plein de magnolias et de chênes, à environ un kilomètre du centre. Chambre double à partir de 86 euros (El Pito, tél. 985/59 13 03, fax 59 13 16, www.casonadelapaca.com).
Baiona - baignade sous le château
Si petit, si serré, si discret! Pourtant, le 1 er mars 1493, il n'y avait pas de navire plus fier que la caravelle "Pinta", dont la réplique est maintenant un musée flottant dans le port de Baiona. Après des mois de travail acharné, alors que personne ne s’attendait à rentrer chez lui, la «Pinta» a appris la découverte de l’Amérique. Les habitants de Baiona étaient ainsi les premiers Espagnols à connaître le nouveau continent des miracles. Et même alors, la "Pinta" mouillait à la vue de l'imposante forteresse, construite au XIème siècle pour se protéger des voisins portugais. Aujourd’hui, vous pourrez vous promener dans les murs du château ornés de fleurs sur la plage animée, qui doit non seulement beaucoup d’été, mais aussi des immeubles inesthétiques à la ville de 10 000 habitants de la Galice. Dans l'ancien noyau au-dessous de Fortaleza, Baiona, avec ses pavés et ses maisons trapues, a toujours une apparence aussi médiévale que le capitaine Martín Alonzo Pinzón vient de jeter l'ancre. Il a probablement goûté aux spécialités locales juste après son arrivée triomphale: des bernacles rares et des huîtres fraîches, des crevettes de toutes tailles et de tous types de préparations.
hébergement: Parador de Baiona. À l'intérieur des anciens murs du fort, superbe vue de l'Atlantique. DZ / F à partir de 120 euros (Tél.: 986/35 50 00, fax 355076, www.parador.es, province de Pontevedra).
Hôtel Tres Carabelas. Vieille maison en pierre au centre, chambres simples. DZ / F à partir de 45 euros (Calle Ventura Misa 61, tél. 986/35 51 33, fax 35 59 21, www.hoteltrescarabelas.com).
Pour les campeurs: Place Bayona Playa, directement sur la plage, www.campingbayona.com, par personne / tente / voiture, environ 6 euros chacun.
Espot - Une eau merveilleuse
Lacs glaciaires scintillants, ruisseaux, sources et cascades - dans le parc national d’Aigüestortes à Estany de Sant Maurici dans les Pyrénées, il coule et éclabousse partout. Le village d’Espot, qui compte 300 habitants, est situé à 1318 mètres d’altitude sur le Rio Escrita, un fleuve mousseux et blanc, est le point de départ idéal pour des excursions dans les «eaux sinueuses», comme l’a traduit Aigüestortes. Ses vieilles maisons construites en pierres irrégulières réparties autour de l'église du village comptent encore quelques fermes rustiques dans la partie supérieure. Une tour de guet médiévale et un pont roman imposant rappellent le temps où Espot dormait à l'écart du monde et visiter le village voisin de Sort était une dure journée de voyage. Une route étroite mène à quatre kilomètres de l'entrée du parc. À partir de là, il faut environ une heure pour monter au lac de Sant Maurici - et sur d'innombrables sentiers de randonnée à travers un paysage de montagne, les plus hauts sommets atteignent près de 3 000 mètres. Dans l'air pur des montagnes des Pyrénées, chaque pierre a l'air d'être fraîchement nettoyée, chaque pâturage est d'un vert luxuriant, chaque lac est un miroir et au-dessus il est entouré d'aigles royaux - une idylle comme le paisible domaine des hobbits.Et comme dans le conte de fées, un double rocher remarquablement déchiqueté, l'emblème du parc national d'environ 2700 mètres d'altitude, "Els Encantats" - les hantés ... Si vous l'aimez assez, vous pouvez passer la nuit dans l'un des cinq refuges de montagne du parc, situé à côté de la ville Refugi Ernest Mallafré au bord du lac de Sant Maurici (Tél. 973/250118). Mais méfiez-vous: même en été, ça peut être cool ici.
hébergement: Hôtel Saurat. Au milieu du village, des chambres agréablement spacieuses mais simples avec beaucoup de bois. DZ / F à partir de 100 euros (Plaça Sant Martí 1, tél. 973/624162, fax 624037, www.hotelsaurat.com).
Hôtel Rocablanca. 16 chambres dans des tons de roseau et d'ardoise avec parquet, sauna, jacuzzi et salle de sport sur place. DZ / F à partir de 84 euros (Carrer Església s / n, tél. 973/624156, fax 624157, www.rocablanca.net, des excursions en rafting, à cheval, en canoë, etc. sont organisées).
local: Le restaurant de "l'Hôtel Saurat" est une bonne adresse pour une bonne cuisine de montagne (agneau, enfants), le "Juquim" dans la rue principale sert une cuisine locale, menu à environ 20 euros.
achats: Pouvez-vous acheter du bonheur? Dans Sort, c'est ce que beaucoup d'Espagnols croient. Parce que la ville située à environ 20 kilomètres au sud d’Espot a déjà remporté à plusieurs reprises le prix principal de la loterie espagnole - la branche locale La Bruixa d’Or («La sorcière dorée») promet beaucoup de valeur ajoutée. Tri signifie bonne chance en catalan
Agua Amarga - Beau Désert
Des kilomètres de plages préservées - un rêve pour les spéculateurs qui ont déjà largement pavé la côte méditerranéenne espagnole. Au Cabo de Gata, près d’Almería, les défenseurs de l’environnement ont pu leur jouer un tour: depuis que la région du Cap a été déclarée parc national en 1987, elle ne peut être construite que dans les limites locales existantes. Et c’est pourquoi Agua Amarga est restée fidèle à ce qu’elle était: un village de pêcheurs de 200 habitants situé à l’embouchure d’une vallée aride. Traduit, le nom signifie "Eau amère", et pourtant il n'y a pas de village plus doux dans le semi-désert d'inspiration africaine de Cabo de Gata. Les falaises calcaires de la région sont d'un beige clair et de sable, particulièrement charmantes dans la baie isolée de Cala de Enmedio, à une demi-heure à pied ou en pente. Une voiture est particulièrement recommandée: visiter les autres villages du parc naturel, observer les flamants roses dans les marais salants du Cap ou découvrir l’histoire de la région riche en pluies et en oiseaux du centre de documentation situé sur la route reliant Almería à San José. Vous pouvez aussi traverser les pentes poussiéreuses pour vous rendre au domaine en décomposition de Cortijo del Fraile, la scène originale effrayante du "mariage sanglant" de Federico García Lorca - et retourner dans la soirée à l'atmosphère chaleureuse d'Agua Amarga.
hébergement: Hôtel El Tio Kiko. Des cubes blancs à flanc de colline, des chambres nobles et rustiques aux accents de bois et des sols en terre cuite, des terrasses donnant sur la mer. DZ / F à partir de 150 euros (Calle Embarque s / n, tél. 950/138080, fax 138067, www.eltiokiko.com, également auprès de l'association des hôtels www.rusticae.es à réserver).
Pension Mikasa. Hôtel de charme avec jardin romantique, petit spa (bain turc, massages). DZ / F à partir de 110 euros (Carretera de Carboneras s / n, tél. 950/138073, fax 138219, www.mikasasuites.com ou www.notodohoteles.com).
local: Le "Pensión Family", situé à la périphérie de la ville, est également un bon petit hôtel, mais surtout un excellent choix de menus français à moins de 20 euros. À environ 1,5 kilomètre de Carboneras, "La Chumbera" propose une cuisine ambitieuse hispano-catalane, par exemple. Lotte à la mayonnaise d'agrumes 18 euros, filet de bœuf aux légumes grillés 16 euros.
Directement sur la plage du village d'Agua Amarga, vous pourrez déguster au restaurant "Playa" en plein air, fruits de mer et paella, pour 15 euros. Spécialité: plats de riz andalous, également à base de homard.
achats: Les accessoires colorés d'Inde et d'Indonésie de la "Tienda Poco Loco" se marient bien avec l'atmosphère détendue d'Agua Amarga.
Grazalema - Bergidyll pour les spéléologues et les amateurs de fitness
Des cochons noirs agitent les pieds, des chèvres grimpent dans les arbres - lors de la randonnée jusqu'au "Salto del Cabrero" au-dessus de Grazalema, le parc naturel près de Ronda devient une idylle rurale en montagne. Et comme un paradis pour les alpinistes libres, les vététistes et les spéléologues qui trouvent les meilleures conditions dans le paysage rocheux karstique de la Sierra de Grazalema. Même les cyclistes sur route utilisent ces routes de montagne andalouses à peine parcourues pour leur entraînement. Grazalema est niché dans une vallée profonde. La place Plaza España constitue le centre du village de 2180 habitants: des enfants jouent au football, des hommes âgés discutent sur les bancs en fer. Qui est habitué aux repas andalous tard, doit passer à Grazalema: vous êtes assis à huit heures et demie à table et mangez copieux comme des saucisses, des ragoûts ou des plats de gibier faits maison. Une fortification pour le lendemain de randonnée, au cours de laquelle vous apprendrez également à connaître une particularité biologique de la Sierra. En hiver, d'ailleurs, région la plus pluvieuse d'Espagne: il n'y a qu'ici et dans le nord du Maroc que se développent les "Pinsapos".Attention: Pour certains itinéraires, vous devez obtenir une autorisation préalable (au comptoir d’information du Plaza ou de l’hôtel), parfois même au milieu de l’été, avec un guide autorisé.
hébergement: Hôtel Peñon Grande. Chambres bien tenues dans des couleurs chaleureuses et amicales. DZ / F à partir de 53 euros (Plaza Pequena 7, tél. 956/132434, fax 132435, www.hotelgrazalema.co).
Hôtel Puerta de la Villa. Maison traditionnelle dans des tons crémeux élégants avec des touches de fer forgé à côté. DZ / F à partir de 85 euros (tél. 956/132376, fax 132087, www.grazhotel.com).
local: Le restaurant "Cádiz el Chico", situé sur la Plaza España, est célèbre pour son rôti de porc. Menu du jour environ 10 euros.
Dans le "Bar Zulema", dans une rue étroite du coin, vous pouvez composer un délicieux menu de tapas: par exemple. pommes de terre épicées, poisson frit ou saucisse maison pour environ 4 euros par assiette.
achats: Le bureau d'information touristique (Plaza España) vend des produits typiques de la région, tels que des mantas de mouton ("mantas") tissés à la main, des céramiques, des fromages forts et du miel "Pinsapar" au premier étage.
Covarrubias - des chansons pour la détente
L’Espagne n’est nulle part plus fière qu’en Castille-et-León - les nombreux châteaux (castillos) ont donné à la région, qui est considérée comme le cœur de l’Espagne, son nom. Il n’est donc pas inhabituel que même un lieu d’à peine 700 habitants abrite une tour impressionnante du Xe siècle, une église collégiale de même âge, rénovée à plusieurs reprises, ainsi que de nombreuses demeures magnifiques. Covarrubias doit probablement son nom aux grottes "cuevas rojas" creusées dans le sol rouge, qui sont encore plus courantes dans cette région. Des maisons à colombages maigres adossées aux anciens pavés, des rues tortueuses débouchent sur de jolies places. À Covarrubias, le Moyen-Âge est visible à tous les coins de rue. Pour les pèlerins, le village était une étape incontournable sur le chemin du monastère de Santo Domingo de Silos, situé à 17 km, où vous avez toujours le sentiment d'être en dehors de l'espace et du temps. C'est à ce moment-là que vous entendez les chansons grégoriennes à neuf heures du matin. Quiconque vient assister aux vêpres le soir à 19 heures et ensuite expérimenter l'un des célèbres couchers de soleil castillans est perdu de toute façon.
hébergement: Hôtel Arlanza. En plein centre, chambres spacieuses et élégantes dans une maison de ville restaurée, z. avec de belles vieilles poutres de plafond. Chambre double environ 60 euros (Plaza Mayor 11, tél. 947/406441, fax 400502, www.hotelarlanza.com).
Hôtel Rey Chindasvinto. Un peu simple, à l'église. DZ / F environ 55 euros (Plaza del Rey Chindasvinto 5, tél. 947/406560, fax 406534, www.sierradedademanda.com).
local: Les deux hôtels ont des restaurants pittoresques, en particulier le "Arlanza", qui accueille également des dîners médiévaux le samedi (faire des réservations!).
"Restaurant Del Galo", dans une ancienne Posada; Plats au four à bois (environ 13 euros) et le ragoût typique "olla prodrida" (12 euros).
achats: Dans le monastère de Santo Domingo de Silos, il y a les chants grégoriens sur CD.
Informations complémentaires:
Office du tourisme espagnol Myliusstraße 14 60323 Frankfurt Tél. 069/72 50 33 Fax 72 53 13 www.spain.info
